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LysandreArseneau
ParticipantBonjour Marie-Claude,
Je te confirme que j’ai testé plusieurs méthodes pour tenter d’arriver à des chiffres le plus réalistes possibles. Nous n’avons pas le module Tableaux de bord d’ACCEO Justice, j’imagine que ça pourrait faciliter cette tâche, mais de mon côté, je prépare des tableaux “maison” chaque début d’année, avec un comparatif sur environ 5 ans, soit un sur la fermeture des dossiers par étape (payés, annulés ou clos) et un pour les dossiers fermés sans paiement, par raison d’annulation (ex : retrait, travaux, décès, compagnie en faillite, etc…). Je fais un pourcentage de la moyenne et ça donne une idée sur les prévisions. En ce moment, ceci convient au Service des Finances et au besoin, nous discutons ensemble si des informations sont à ajouter / enlever des tableaux pour leur faciliter la compréhension.
Évidemment, je suis toujours ouverte à modifier mes façons de faire, si une autre s’avère être plus efficace ! Alors je reste alerte aux autres réponses ! 😉
Bonne journée !
LysandreArseneau
ParticipantBonjour à tous,
Effectivement, c’est particulier d’envoyer les statistiques annuelles de l’année précédente très tôt en janvier (à leur demande, afin de pouvoir nous envoyer les factures rapidement), et recevoir une demande quelques jours plus tard afin de recevoir le nombre de séances s’étant tenues par mois, en nous indiquant qu’ils n’ont pas ces données en leur possession… Ces informations étant déjà dans le rapport annuel transmis, c’est un peu surprenant ! Alors, je suis également d’avis que des liens ne se font pas et les demandes d’informations se multiplient pour cette raison.
Souhaitons que les choses s’ajustent au cours des prochaines semaines / mois.
Bonne fin de journée !
LysandreArseneau
ParticipantBonjour Karine,
Je n’ai jamais eu une telle demande, mais je me questionne sur la problématique soulevée… Veulent-ils la transcription des notes sténographiques ou simplement une copie de l’enregistrement ? Si on ne parle que de l’enregistrement, vous pouvez graver sur CD ou clé USB à très faibles coûts, ou même envoyer un lien par SharePoint, Dropbox ou Wetransfer, ce qui n’implique pas de frais, non ? Peut-être que je ne saisis pas bien la question… ?
Bonne journée !
LysandreArseneau
ParticipantBonjour Caroline,
À Victoriaville, qu’il s’agit de constats du DPCP ou municipaux, la procureure accepte généralement de négocier les vitesses, pour baisser au pallier qui précède immédiatement. Cependant, elle demande à ce que le défendeur soit tout de même condamné aux frais de procès (lequel consent généralement). Mais en aucun cas il y a négociation pour les grands excès de vitesse (GEV).
Bonne journée !
13 novembre 2024 à 11h43 en réponse à : règlement municipal sur routes numérotées BIA possible?? #53683LysandreArseneau
ParticipantBonjour Nathalie,
Oui, il arrive régulièrement que des constats relatifs à la règlementation municipale soient émis sur une route numérotée, mais de tels constats demeurent municipaux, donc le poursuivant est la municipalité et non le DPCP.
Bonne journée !
7 novembre 2024 à 14h47 en réponse à : Règlement d’application de la Loi visant à favoriser… (chien) #53671LysandreArseneau
ParticipantBonjour Julie !
De notre côté, les patrouilleurs de la SPA ont émis dernièrement des constats en vertu du P-38. Nous avons modifié nos règlements municipaux, notamment pour que les amendes imposées soient ajustées en fonction des amendes minimales établies par le P-38, mais certains articles du P-38 ne sont pas existants dans nos RGM. Alors oui, ils en émettent suivant les deux procédures.
Bonne journée !
LysandreArseneau
ParticipantBonjour,
En effet, le premier alinéa de l’article 178 de la Loi sur la faillite et l’insolvabilité confirme qu’une faillite ne libère pas le failli pour des amendes en matière pénale :
” L’ordonnance de libération ne libère pas des dettes
178 (1) Une ordonnance de libération ne libère pas le failli :
a) de toute amende, pénalité, ordonnance de restitution ou toute ordonnance similaire infligée ou rendue par un tribunal, ou de toute autre dette provenant d’un engagement ou d’un cautionnement en matière pénale;
(…) ”
Nous ne levons donc pas les suspensions de permis dans de tels cas. Cependant, pendant une déclaration de faillite (jusqu’à la libération), nous pouvons suspendre les dossiers pour éviter des procédures de perception pendant le processus. Mais le dossier demeure actif, au même titre que les autres dossiers.
LysandreArseneau
ParticipantBonjour Caroline,
À Victoriaville, le stationnement de nuit en période hivernale est interdit par le règlement municipal sur la circulation et le stationnement. À noter que le stationnement de nuit peut être permis en période hivernale, s’il n’y a pas d’opération de déneigement ou s’il n’y a pas de chute de neige annoncée (c’est donc plus souvent permis qu’interdit), mais il y a une ligne “info-neige”, par téléphone et Internet, et c’est aux gens à aller s’assurer que le stationnement de nuit est permis, quotidiennement. Mais c’était plus facile de gérer “interdit, sauf si expressément permis” que “permis, sauf si expressément interdit”. Ça fonctionne bien !
LysandreArseneau
ParticipantMerci Héloïse !
J’ai effectivement fait une requête à PG… Je trouve très particulier que selon le format sélectionné, les informations diffèrent et ne soient pas modifiables !
à suivre…
LysandreArseneau
ParticipantBonjour Mélissa,
Quelques cas ici… Je n’ai jamais eu encore à aller plus loin que le NPA (et plusieurs dossiers appartenant au BIA, ça m’a sauvée d’être en charge de la perception)!
Mon dernier cas remonte en juin dernier, où j’ai reçu des menaces suite au NPA. Les défendeurs ont continué de conduire, donc ont reçu des nouveaux constats, en plus de la saisie de leur voiture. Menaces répétitives, visites à la cour, où je me suis fait traiter de noms qui ne s’écrivent pas ici, des dizaines de courriels chaque jour, factures reçues me réclamant des dizaines de millions de $ et/ou X pièces d’or 24 carats, envoyées à mon nom personnel ET à l’employé de la cour, factures également envoyées à la Ville, au maire, au député, etc… Bref, quand la dame et son conjoint sont passées aux menaces tangibles (on t’envoie quelqu’un chez toi (…), tu vas avoir de la visite à ta maison (…), etc…), c’est la SQ qui a pris le dossier. Ils sont allés faire une visite de “courtoisie” aux défendeurs pour les aviser que le dossier de harcèlement était entre les mains de la police – le monsieur était déjà sous conditions, suite à du harcèlement et menaces de mort envers une greffière et une procureure à la jeunesse dans un autre district. La Ville a aussi envoyé une mise en demeure par huissier pour qu’ils cessent de communiquer ou se présenter à la cour. Tout ça a fait son effet, ils ont cessé de communiqué avec moi et une semaine plus tard, tous les dossiers étaient payés ! Par contre, ils ont déposé des plaintes au syndic du Barreau cet été, alors jusqu’où ça va aller… ?
Pour être honnête, je n’ai vraiment pas aimé mon expérience ! 😉 J’ai refusé que ma maison soit sous surveillance pendant la phase “critique”, mais j’ai tout de même passé une semaine avec un bâton de baseball à côté de la porte d’entrée chez moi et je ne laissais plus mes enfants sortir seuls (on ne sait jamais jusqu’où ça peut aller).
Donc en ce qui concerne la perception de ces dossiers, il va de soi que je ne retiendrai pas les NPA seulement par crainte de représailles, ça fait partie de nos obligations d’aviser la S.A.A.Q. du non-paiement des amendes. Mais à savoir jusqu’où j’irais pour la perception de ces dossiers ? Je me le demande ! Disons que je ne ferais pas exprès de laisser des procédures avec mon nom bien écrit dessus !
Je suis curieuse de savoir ce qui se fait ailleurs et s’il y a beaucoup de cas de citoyens souverains actifs en ce moment. Jusqu’à présent, j’avais toujours refusé de tenir compte des menaces de ce genre de personnes, mais à voir jusqu’où ça peut aller, sans doute plus loin encore, j’avoue que je suis de moins en moins combative dans ce genre de situation ! L’âge sans doute, peut-être même un peu de sagesse ! 😉
LysandreArseneau
ParticipantBonjour Karine,
Je n’ai pas de connaissances au niveau du nombre de pistes (1 -vs- 4…), mais je peux à tout le moins t’indiquer qu’à notre cour, nous avions également des micros branchés sur chaque bureau et que, depuis la pandémie, nous avons modifié notre système et que ce sont 2 micros “encastrés” au plafond qui ont été installés à la place. Je n’ai pas trouvé de grosse différence au niveau de la qualité de l’enregistrement et je n’ai pas reçu de commentaires non plus de la part des sténographes ayant trait au nombre de pistes audio… J’espère que ça pourra t’aider dans ton questionnement !
Bonne journée!
19 août 2024 à 10h46 en réponse à : Jugement par défaut – Au sein du Tribunal – Fonctionnement #53386LysandreArseneau
ParticipantDepuis quelques mois, nous fonctionnons de la façon suivante à notre cour :
Nous sortons une liste préliminaire des jugements par défaut (ancienne procédure) et je passe sur chaque dossier. Si je vois que la présence d’un témoin civil ou un policier est nécessaire (par exemple, pour la tenue d’un voir-dire), ou si un préavis d’amendement est nécessaire, les dossiers sont envoyés à la procureure (chemise à part, avec copie des documents), laquelle procède à l’analyse des dossiers et m’avise lorsque le dossier est prêt à être fixé avec les assignations nécessaires, au besoin. On fixe alors tous les dossiers analysés de la procureure sur un rôle à part et, si le temps le permet, les dossiers procèdent après une séance “standard” et la preuve est déposée par la procureure de la poursuite. Pour les autres dossiers, que je considère complets, sans analyse poussée nécessaire, je les fixe sur un autre rôle et, encore une fois, ils sont présentés au Juge en salle de cour, après une séance standard lorsque le temps le permet. Cependant, pour ces dossiers sans analyse de la poursuite, c’est la greffière-audiencière qui dépose les dossiers au Juge, un à un, dans lesquels un PV défaut est déjà imprimé. Le Juge consulte donc lui même les dossiers et signe directement les procès-verbaux. Mais autant pour les dossiers avec procureure que ceux sans procureure, l’appel du rôle et les jugements sont enregistrés en salle d’audience.
C’est ainsi depuis environ 2 ans et, en effet, la Juge coordonnatrice de notre région nous a informés qu’ils prévoyaient que prochainement, afin d’uniformiser les façons de faire, l’ensemble des jugements par défaut devront probablement se faire tous sous enregistrement en salle d’audience (même si les Juges pourront tout de même se retirer pour analyser les dossiers dans leur bureau avant de revenir rendre les jugements dans la salle de cour).
LysandreArseneau
ParticipantBonjour Mélissa,
En effet, une fois que le BIA/SGIPA te confirment que c’est annulé de leur côté, tu dois également annuler le transfert déjà fait par ACCEO, comme expliqué par Julie. Cependant, de mon côté, il n’y a jamais eu de problème pour refaire la transaction avec la même caisse. Mais si on peut tout de même éviter des problèmes éventuels avec le système informatique, je te suggère de faire comme le dit Julie ! 😉 Bonne journée !
LysandreArseneau
ParticipantOuf ! Ce n’est pas simple… Comme si les journées n’étaient pas déjà assez chargées !!! J’espère que ça va rentrer dans l’ordre rapidement…
Mireille, on a vécu cette problématique la semaine dernière, pour un constat de vitesse dont la date d’infraction était du 31 mai, mais à l’encodage, l’amende qui s’insérait automatiquement était la nouvelle amende (normalement valide à compter du 1er juin). Pour le moment, je n’ai pas eu d’autres échos que la problématique s’était reproduite…
Je me demande aussi… Suis-je la seule que la 2ème mise à jour des Éditions S.R. a, comme date de la nouvelle infraction, le 2 juin, au lieu du 1er juin ? Celles pour les vitesses est bien pour le 1er juin, mais celles pour les autres infractions (359.1, 368, etc…) ont plutôt le 2 juin comme date de début… Étrange, non ?
Ne lâchons pas, les choses vont finir par rentrer dans l’ordre et les vacances vont bien finir par arriver ! 😉
LysandreArseneau
ParticipantBonjour,
Même chose ici… Le BIA a avisé la SQ que tant que leur système n’était pas mis à jour (ce qu’ils prévoient être fait d’ici plus ou moins une semaine), ils demandent à ce que les constats soient encaissés à l’amende “initale” (celle en vigueur avant le 1er juin) et que, pour les constats contestés ou qui iront en défaut, des préavis d’amendement seront demandés par la poursuite. Par contre, j’imagine que comme plusieurs cours, notre mise à jour avait été faite par Les Éditions S.R. (de mon côté, le 13 juin pour les vitesses et le 25 juin pour les autres infractions). Ce qui fait que les constats encodés avant ces dates, pour des infractions à partir du 1er juin, ont été encodés avec les anciennes amendes, tandis que ceux encodés depuis les mises à jour l’ont été avec les nouvelles amendes. J’imagine qu’on va devoir modifier chacun de ces constats manuellement pour corriger les amendes pour y inscrire les anciennes amendes (et frais reliés), et que seulement lorsque les constats seront amendés devant le Juge (ce qui n’ira pas avant les prochaines séances en septembre), les amendes et frais pourront être ajustés. Mais ce n’est pas simple, la gestion de tout ça ! Avoir su, je n’aurais pas intégré la dernière mise à jour des Éditions S.R.
Pour ceux qui ont déjà procédé à la mise à jour du système et qui ont encodé quelques dizaines / centaines de constats avec les nouveaux montants, comment allez-vous procéder ?
LysandreArseneau
ParticipantBonjour Sylvie,
À Victoriaville, nos heures de séances sont :
AM : 9h00
PM : 13h30
Soir : 18h00
Bonne journée !
LysandreArseneau
ParticipantBonjour Céline,
Même chose à Victoriaville. Cependant, avant de présenter une demande d’ordonnance au Juge, nous faisons signifier un préavis d’ordonnance au défendeur (par poste certifiée). Ensuite, nous préparons un projet d’ordonnance que le Juge signe lorsqu’il rend son ordonnance (on en prépare un maison, mais il y a un modèle qui peut être créé dans ACCEO / Documents / OLB – on trouvait qu’il n’était pas assez complet par contre). Ensuite, on envoie une copie de l’ordonnance signée au défendeur (courrier ordinaire), une copie au dossier et une copie à la SQ, où le bien pourra être détruit après 30 jours de la décision.
Bonne soirée !
LysandreArseneau
ParticipantBonjour,
Pouvez-vous m’indiquer si c’est nouveau, le fait que la date de référence de la propriété ne fonctionne pas ? Il nous arrive que l’identification de la SAAQ en date du jour ne coïncide pas, mais quand on inscrit la date d’infraction, les résultats coïncident la plupart du temps… Et ça fait déjà plusieurs mois que je l’utilise ainsi (je n’avais pas vu passer que ça ne fonctionnait pas). Alors je suis surprise par cette information ! 😉
LysandreArseneau
ParticipantBonjour Chantal,
Je n’ai pas d’entente à te transmettre, puisque la nôtre est plus que due pour une mise à jour ! Mais comme je commence à regarder ça de mon côté également, je suis curieuse des suivis et réponses de nos collègues. Je ne sais pas si c’est possible pour les répondants de joindre leur entente ici, mais sinon, j’aimerais beaucoup recevoir les “modèles” par courriel également : [email protected] .
Merci beaucoup et bonne journée !
LysandreArseneau
ParticipantBonjour ! Pour répondre à tes questions, voici ce qu’on utilise à Victoriaville :
Nous avons un Elmo, mais honnêtement, nous ne trouvons pas du tout le fonctionnement efficace. Parfois, ça fonctionne, d’autres fois, l’image reste noire. Nous sommes deux à tenter son utilisation (moi et la greffière audiencière), et ni l’une ni l’autre, nous arrivons à faire ce que nous voudrions faire avec… Est-ce un manque de connaissances du système ? Est-ce le lien avec l’écran / système informatique qui est problématique ? Aucune idée, mais à refaire, je n’achèterais pas un Elmo.
Nous avons une caméra 360 au fond de la salle qui filme l’ensemble (ou presque) de la salle et qui, normalement, arrive à zoomer automatiquement sur la personne qui intervient. Je dis “normalement”, parce que comme toute bonne technologie digne de ce nom, il arrive que ça bogue ! 😉 Mais en général, ça fonctionne quand même bien et l’image est assez claire.
Nous avons 3 écrans dans la salle de cour, mais nous n’en utilisons qu’une seule (les deux autres sont installées pour servir en cas d’urgence, puisque notre salle de cour est également celle des mesures d’urgence). Actuellement, je ne vois pas quelle serait l’utilité de faire usage de plus qu’un écran en ce qui me concerne (pour la cour municipale).
Nous avons fait installer des micros “encastrés” au plafond – qui venait en “kit” avec la caméra 360. Mais j’ignore la marque/modèle, c’est le service informatique qui a géré le tout. Les micros semblent bien fonctionner en général.
Pour le système d’enregistrement, nous sommes avec Novo Technologie (Voxlog / Comnet) depuis des années. Ça fonctionne généralement bien et c’est vraiment abordable comme coûts annuels pour le soutien, etc… (environ 500$/année il me semble).
Je vais suivre la publication, je suis curieuse de voir ce qui se fait ailleurs !
🙂
LysandreArseneau
ParticipantJe suis également intéressée par les réponses ! Nous avons eu un cas semblable il y a 2 semaines et la S.A.A.Q. nous a dit que la seule façon de remettre le dossier en NPA, c’était de l’envoyer avec un autre numéro de référence. J’ai donc modifié le numéro de cause, refait un NPA en indiquant “sans frais” et retourné le tout à la SAAQ. On ne m’a jamais parlé d’un ARA, j’ignore de quoi il s’agit ?!
LysandreArseneau
ParticipantBonjour Mélissa,
À Victoriaville, l’amende est de 40$ plus frais de constat (54$). En ce qui concerne le remorquage, nous n’appliquons pas ce frais à la cour, je crois que c’est le service des finances de la Ville qui facture directement les propriétaires des véhicules concernés.
Bonne fin de journée!
LysandreArseneau
ParticipantBonjour,
Nous faisons affaire avec Sécurité de Francheville, mais je ne sais pas quel territoire ils couvrent…
LysandreArseneau
ParticipantMerci de l’info ! 🙂
LysandreArseneau
ParticipantBonjour Julie,
À Victoriaville, comme à Drummondville, tous les dossiers jugés sont classés par ordre alphabétique (nom de famille du défendeur) et, lorsqu’un défendeur a plusieurs dossiers, nous les joignons ensemble par un élastique. Les dossiers du BIA sont également classés avec les “municipaux”, mais ils sont mis dans des chemises d’une couleur différente, ce qui facilite la gestion lorsqu’un défendeur vient prendre une entente, par exemple.
Par contre, dès qu’un numéro de contrevenant est donné à un défendeur (ex : mis en entente, travaux compensatoires, etc.), nous inscrivons le numéro contrevenant sur l’étiquette du dossier défendeur et le classement se fait à part, en ordre numérique de #contrevenant. Donc, en gros, les dossiers jugés sont séparés en deux classeurs, un par ordre alphabétique et un par #contrevenants, lorsqu’un tel numéro a été donné à un défendeur dans le cadre de la perception. Nous trouvons que ça facilite la recherche lorsqu’un défendeur vient payer une entente régulièrement.
Je suis tout de même intéressée à voir ce qui se fait ailleurs, nous sommes toujours ouverts à rendre plus efficace lorsque possible ! 🙂
Bonne journée!
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